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Pourquoi et comment les plantes sont sensibles à la musique
par Claude TOUZET
Maître de Conférences
Enseignant chercheur
UMR Neurosciences Intégratives et Adaptatives (7260)
Aix-Marseille Université
http://www.touzet.org/Claude/Web-Fac-Claude/index.html
Joël Sternheimer : français, né le 31 janvier 1943 à Montluel (Ain).
Diplômé en 1967 de l'université de Princeton en physique théorique, Joël Sternheimer travaille ensuite en tant que chercheur indépendant sur les particules élémentaires, puis sur la régulation de la biosynthèse des protéines par les mélodies construites à partir des suites de fréquence de l'accrochage des acides aminés sur leur ARN de transfert.
Il ne s'agit plus là, malgré d'étonnantes ressemblances, de musique à proprement parler, raison pour laquelle il forge le mot nouveau de « protéodie ».
Protéodies = mot-valise composé de protéine et de mélodie. Possiblement créé par Joël Sternheimer, inventeur d’un procédé de régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines par résonance d’échelle.
Rappel sur la synthèse des protéines Clique sur ce lien bleu
Protéodie = Mélodie constituée à partir du décodage des ondes émises par les acides aminés, susceptible de développer ou d'inhiber le développement des plantes, selon le physicien Joël Sternheimer (Dictionnaire Cordial).
Joël Sternheimer nous dit, que lorsque l'acide aminé se fixe à la chaine protéique par l'intermédiaire du ribosome, il exerce un mouvement ondulatoire que Joël Sternheimer a appelé "Onde d'échelle". Par un processus complexe, il rend audible ces ondes d'échelles, devenues alors "onde sonores". C'est durant l'émission par l'A.A. de ce mouvement ondulatoire ou l'émission de l'onde échelle, que la musique peut intervenir, en l'accompagnant, donc en accélérant le processus de synthèse de la protéine, ou en le ralentissant, soit inhiber la synthèse de la protéine correspondante.
Autrement dit, lors du processus de synthèse des protéines, les acides aminés émettent des séquences de signaux quantiques qui constituent une mélodie dont chaque note correspond à un acide aminé de la protéine visée. En enchaînant les sons dans le bon ordre, on crée un morceau unique qui s'harmonise avec la structure interne de l'organisme concerné (En savoir plus : https://plantemusique.webnode.fr/explications-theoriques/les-proteodies/ )
La discipline qui étudie les protéodies est aussi connue sous le nom de génodique. Sternheimer traduit et convertit l’ondulation des protéines en séquences musicales, prêtes à être téléchargées, qui « ressemblent à des comptines », dont le « tempo, la durée et le volume sonore modulent leur effet : inhiber, ou stimuler une protéine »
Il transcrit des phénomènes vibratoires et quantiques des noyaux cellulaires des plantes en mélodies, et prétend qu'une fois rejouées, elles seraient capables de stimuler la croissance des végétaux et de soigner certaines maladies.
Ses travaux sont considérés comme pseudo-scientifiques, pourtant un brevet européen lui a été attribué en 2007 - après 15 années de procédures et résultats complémentaires pour convaincre les examinateurs de la validité de la méthode.
Sa méthode est aujourd'hui utilisée par des agriculteurs, des vignerons et des maraîchers, pour lutter contre diverses maladies des cultures, comme l'esca sur les vignes de Champagne
Quelques vidéos pour approfondir le sujet :
Interview STERNHEiMER
Quelques exemples d'effets sur la vigne, les cornichons, les huitres et affirmation d'effets sur l' hémoglobine)
Des expériences ont aussi été menées sur des porcelets, des vaches et des chevreaux mais là, également, ces essais paraissent insuffisants scientifiquement.
Un article France Inter sur ce thème : https://www.franceinter.fr/societe/et-si-la-musique-aidait-a-soigner-les-plantes
MISE EN GARDE :
Cet article et ces vidéos relatent des faits soumis à interprétation et il n'y a ici aucune étude scientifiquement incontestable (en double aveugle) prouvant l'effet de la musique sur les plantes, les animaux (huitres, porcelets, vaches, chevreaux) et encore moins sur l'espèce humaine. Il appartient à J. STERNHEIMER de confirmer sa théorie en procédant à ces études et à la communauté scientifique de constater leur validité et de poursuivre les travaux de recherche.
Cependant cet effet, après nous faire rêver, nous fait nous poser des questions ... ; Et si c'était vrai ... ?
ALORS, ENVIE DE RÊVER ?